*Assis au bord de la crique a contempler La Mer Celtique... C'est toujours les même images que je revoit... Du sang, des cris, des hurlements, et ces loups qui me suivent... Qui étais-je, où allais-je? Et pourquoi me suivaient-ils tous? Le vent souffle sur mon visage, il fait parti de la nature, je fais parti de lui, Le Vent Celte. Un coup on me voit, un coup on ne me voit pas... Mais moi je vois le monde qui s'obscurssit, sans voir qui je suis... Pourtant je dois partir, chercher ces montagnes qui m'appellent... Poussé par le vent...* C'est ainsi que L'Aloka, l'esprit, prit la route, pour agir, car il le devait, mais sur quoi, nul ne le savait. C'est ainsi qu'il se leva, en route pour quitter ces terres; * les terres de mes ancêtres*...